Histoire

pour ce qui va suivre veuyer ne mettre que vos histoires svp!!!!vous pouvez en disuter sur dotre rubrique mais pas ici merci! De plus je demande o écrivaint d'écrir des histoires, coérantes premièrement, mais ossi d'écrire par épisode (une bataille COMPLETTE par exemple) car cella est très déplésant pour les lecteurs. Je vous souhaite une bonne lecture!!!




Le soir très tard, si vous passer près de notre auberge. Vous pourrez peut-être entendre de nombreux réçits de héros de tout age, de tout temps et de toute race.Et si vous avez de la chance vous rencontrerez peut-être LE CONTEUR. Un être dont les histoires vous font frémir.Cet homme raconte, et connait toutes les histoires qui hantent ces terres. Mais celui-ci disparait à chaque fin d'histoire, vous laissant songeur, perplexe. Il vous faut plusieurs minutes pour revenir à la réalité, et il est déjà bien loin.
Laissez vous transporter par ces histoires.....

L'histoire qui va suivre est la mienne, moi Tzaloq des marais!

Tout d'abord je vais me présenter. Moi tzaloq, chef supréme de la sitée de la citée
Tiquax, une citée située à cotée du golfe de lustrie et qui est le seul lien restant avec le monument du Soleil (qu'un mage de la première génération fit construire et qui demeure une grande force pour nous). Voisin de la fameuse citée Pahuax, notre fière ville prospère calmement tout en livrant de sanglante bataille du aux nombreux débarquement de la côte Ouest et aux nombreuses arrivées venant du Nord. La fiérté de cette citée est son dévoument et leur admiration sans borne a notre mage Slann Xaniluk. Ce qui leurs vos d'être parmis les meilleurs combatants de la Lustrie.
Mon histoire commence il y a bien longtemps. Lors de ma jeunesse je n'était qu'un simple saurus. Tout ce passait pour le mieux quand des hommes du Talabecland débarquèrent au marais Aymara. Mon bataillon parti donc pour combattre l'Empire. Pour un raison que nous ignoront notre mage vint avec nous.Nous marchions depuis plusieurs jours quand nous vîme la côte de la mer des serpents.Les hommes étaient un peu plus au Sud. A l'aube d'un matin les skinks partirent en repérage. Mais aucun ne revint. Xaniluk était de plus en plus inquiet. Il avait envoyé querrir de l'aide à la citée de Hexoatl. Mais elle n'arriverait probablement que trop tard. Notre mage décida d'envoyer le gros de nos troupes sur les hommes, ne connaissant rien d'eux.Nous marchions d'un pas préçant quand soudain des bruits provenant du début de la colone nous parvinrent. Des crits de souffrance attroces. Mais toujours pas d'ennemis en vu. Inquiet, personne ne bougeait. Les bruits se raprochaient. Un camarade kroxigor, bien plus grand que moi poussa des grognements. Il avait vu ce qui ce passait. Il me transmit ce qu'il avait vu. Un piège énorma m'avait il dit juste avant qu'un boulet ne lui arrache la machoire. Fout de rage il fonça vers d'où venait le boulet. Il n'y parvint jamais. Déchiqueté par les bal il tomba dans un râle attroce. Et ce fut à ce moment que je vit ce qui ce passait. Les hommes était plus de 5000. Avec une vingtaines de canons en tous genres. Le reste de l'armée ne pouvait les voirs. Seuls les premiers rangs les voyaient mais ils mourraient tous les uns après les autres. Certain prit d'un axé de rage fonçait vers l'ennemis. Mais 500arquebusiers sortaient des fourrets et tiraient leurs slaves meurtrières. Je ne sais pas comment j'ai fait mais j'ai ordonné le replis. Normalement un saurus ne l'aurait jamais fait. Mais je compris en voyant un serpents filer etre mes jambes. Sotek m'avait choisit. Nous nous repliâmes vers notre capement. Les pertes étaient lourdes. Tard ce soir là on pouvait voir les feux des hommes et leurs cris de joie à travers la jungle. Xaniluk m'appela dans sa tente et me demanda de lui conter toute l'histoire. Il fut abassourdit. Comment ces hommes avaient ils fait pour transporter tous ceci. Il me remercia d'avoir ordonné la retraite et me noma champion d'unitée. Je rentrait à ma tente lorsque qu'un boulet en faux la désintégra. Les feux et les chants étaient donc des leurs. Je fança vers la tente de notre mage. Les troupes étaient déssimés. Je rentra dans la tente que j'avais quitter quelques instants plus tôt. Le mage avait l'air de mattendre. Il me parla d'une voir calme mais pressante:
-Ainsi la prophétie ce réalise. Tu n'est pas un saurus ordinaire tu t'en doute bien maintenant. Il y a bien longtemps le premier mage slann de cette citée avait prononcé une prophétie qui disait qu'un saurus serait choisit pas Sotek pour protéger cette citée. Et je me rend compte que ce saurus est là devant moi.
-Mais...
-Ne mintéront pas je te pris. Tu as un immense pouvoir qui dort en toi. Nous ne surviveront pas à cette attaque. Il n'y a plus qu'un moyen...le monument de la Lune.
-Mais ne louont-on pas un culte au monument du soleil?
-C'est dit-il d'un air amusé. Mais tu as encore beaucoup de chose à apprendre. Les deux monuments sont reliés par un des courrants tellurique Laka. En Lusrtie il y en a trois et il y en a 10 dans le monde. Nous les mages nous conservont le secret de ces courrants Laka qui sont dix fois plus fort que les autres lignes d'énergies. Nous redoutons de les utiliser. Car même à plusieurs mages, la force magique est encore dificile à controler. Et un mort certaine attend celui qui l'utilise pour une mauvaise cause et seul. Mais la situation est critique. Vien suis moi, monte sur mon palanquin.
Je montait sur son palanquin quand celui-ci se mit à voler de plus en plus haut. Du ciel je vis la victoire écrasante des hommes. Les derniers hommes-lézard succombaient aux lances meurtrièrent et aux épées de Talabecland. Mais mon attention fut attirée par le monument de la Lune qui se draissé maintenant devant nous.
-Regarde bien!dit Xaniluk d'un ton sec. Il y a une entrée sur le flan ouest en dirrection du monument du soleil. Tu passera par là. Puis tu entrera dans la salle au centre du batiment et tu attendra.
-Mais...
-As tu compris oui ou non? répliqua-t-il d'un ton énérvé.
-Oui répondi-je inquiet
-Bien alors vas-y!
Et il me déposa devant l'entrée. Puis il repartit. Contraint d'avancer dans le noir, je trébuchais souvent. Et quand enfin j'arriva au centre du monument tout devintlumineux. Et je vis au loin la piramide du soleil faire de même. Je me sentais transporté, je revivais. Cela dura une étérnité ou bien quelques minutes je nen sais rien. Lorsque je sortis de ma torpeur je fit un songe. Je voyait des raits lumineux qui fendaient le ciel. Puis d'un seul coup tombaient sur l'ennemis. Ayant repris mes esprits je repartis vers la sortie. Mais je ne trébuchait plus, je voyait tous. Mon corps tout entier était nouveau pour moi. Lorsque je sorti enfin je vis Xaniluk qui m'attendait. Sans un mot je remonta sur son palanquin. Après quelques minutes, je vis enfin notre camp en ruine. Les flames finissaient de ce consumer. Le palanquin se posa au centre du campement. Je sauta à terre quand une immense clameur se produisit. Un ensemble de rugissements. C'était à vous glasser le sang. Et venant de partout des centaine d'homme-lézards accoururent. Surpris je me mettais sur mes gardes bien que je n'aurais rien pus faire contre eux. Ils se rapprochaient de plus en plus. Je me préparais à frapper quand un cris qui m'était famillié m'arretta. Le kroxigor de la veille courrait vers moi. Je n'en croyais pas mes yeux. Puis je les reconnus tous. Et tous s'agenouillèrent devant moi. Je n'en revenais pas. Je me tournais vers notre mage. Lui souriait d'un sourrir tranquil. Il me dit d'une voi douce, presque comme un père:
-Tu les à tous sauvé! Oui toi, un saurus, LE saurus choisit par notre dieu Sotek. C'est grace à toi qu'ils sont en vie en se moment. Les rayons que tu a vue dans ton songe, c'était des rayons de vie. Et chacun d'eux a frapper un de nos fidéle soldat mort. Puis pris en tenaille, les hummains sont mort. En partie grace aussi au rayon dévastateur que tu as envoyé sur leurs machines de guerres.
-Mais, le campement...?
-Tu te trouve dans leur campement et non dans le notre. Toi qui n'était rien tu nous a tous sauvés.C'est donc toi qui maintenant dirigera la citée, car ces forces m'intrigue et je dois prévenir les autres citées et éxplorer le monde en songe. Tu en fera bon usage. Car ceci est ta citée, ceci est leur citée.
Sur ceux il se tu, et une acclamation vint finir son discour. tous autour de lui l'acclamait. Il était devenue un héro, leur héro. Je décidait de rentrée à la citée. J'étais devenu le chef d'une citée. Et c'est de là que je tien mon surnom de tzaloq des marais mais certain me nomme Tzaloq au deux astres.

Un homme entra dans la taverne. Il était vêtu d’un large manteau de voyage, qui masquait ses membres et la capuche rabattue cachait son visage. Il referma la porte derrière lui, enleva sa capuche et balaya la salle d’un regard sévère. Malgré sa petite taille, l’homme était illuminé d’une force invisible, et on sentait au fond de son âme une sagesse ancestrale.

Il était légèrement plus grand que la moyenne des Nains, et sa barbe était grise comme celle des sages. Sous son lourd manteau, on distinguait une armure manufacturée, typique des Nains ; et à son côté pendait une énorme hache, trophée de joaillerie, au double tranchant acéré et à la poignée incrustée de pierres précieuses.

L’homme s’avança vers une table, et s’assit. Le regard grave, il se plongea dans ses pensées…

« Le Grand Hall résonnait du brouhaha des voix des Seigneurs Loups qui échangeaient leurs points de vue sur les mesures à prendre contre l’invasion Ork de Zhufbar.

"Je prendrai ma Grande Compagnie et tomberai sur leurs arrières pour les empêcher d’attaquer les zones habitées !" déclara Ragnar Crinière Noire, le benjamin des Seigneurs Loups.

"Pff " souffla Egil Iron Wolf. "On va laisser ma Gande Compagnie les annihiler en plein sur leur camp !"

"L’honneur reviendra à mes Fire Wolves !" tonna Kjarl en bondissant et en abattant son immense poing sur la table.

Tandis que le brouhaha continuait, Logan Grimnar restait assis au bout de la grande table de banquet, les mains croisées devant lui, examinant l’assemblée d’un air absent.

"Non." Dit-il, sans s’adresser à personne en particulier. Les Seigneurs Loups se calmèrent instantanément lorsqu’ils réalisèrent que leur chef avait parlé. Ils se tournèrent vers lui, l’air surpris.

"Je conduirai l’attaque," dit le Loup Suprême en se levant.

"Alors je serai derrière toi !" déclara Ragnar avec ferveur, les yeux luisant d’envie et de fierté.

"Moi aussi !" gronda Egil, attrapant une choppe à la volée et la levant pour porter un toast.

"Non," reprit Logan. "Vous resterez ici au cas où notre force serait sollicitée ailleurs."

"Mais, l’Ancien…" implora Ragnar, incapable d’articuler tant il était déçu d’être tenu en réserve. Logan se leva et commença à tourner autour de la table. Examinant les cinq Seigneurs Loups qui tournaient sur place pour rester face à lui, le Loup Suprême poursuivit d’une voix calme.

"Y a-t-il quelqu’un ici qui pense que ma Grande Compagnie ne pourrait venir à bout de ces peaux-vertes ? Suis-je devenu trop vieux et trop faible ? Y a-t-il ici un Loup qui conteste mon droit à mener mes meutes à la bataille ?"

Le silence régnait dans la pièce, les Seigneurs Loups fixaient Logan Grimnar, évitant tous le regard des autres.

"Non ?" continua Logan. "Parfait ! J’ai passé de longs mois ici dans le Croc à établir des plans, définir des stratégies, à rassembler les meutes pour les conflits où nous étions engagés. Vous étiez tous d’accord pour me suivre à ce moment, non ?"

Il fit une pause et leur adressa un sourire, ses immenses crocs reflétant la rougeur de l’âtre.

"Et bien avec tout ça," gronda t-il, "Ca fait une éternité que je n’ai pas eu droit à une bonne bagarre."

Le rugissement d’approbation des Seigneurs Loups résonna dans tout le Croc. »

Voilà où il était, à présent. Logan Grimnar, le Loup Suprême… Il avait conduit son throng, sa Grande Compagnie, à travers les montagnes, traversé les cols et affronté la glace. Tuant sur son passage toutes les peaux-vertes qu’il rencontrait, à l’aide de la Hache Morkaï, sa hache runique qui ne le quittait jamais.

Il avait laissé derrière lui sa forteresse, Karak Kadrin, fort des Tueurs, aux soins de ses fidèles Seigneurs Loups.

Logan voulait prendre un dernier verre avant de partir définitivement au combat.
Le soleil se levait à l’horizon, annonçant l’aube d’une grande bataille…