La campagne de l'année prochaine : introduction!

Il y a bien longtemps, un mage elfe, Esendalys fabriqua une épée enchantée...Une lame fine, belle, brillante...Lors d'une bataille contre des nains, il se rendit compte de la puissance de l'arme...Il s'était sous estimé...La magie renfermée dans cette arme était bien trop forte pour pouvoir la maitriser.
Il décida de cacher l'arme, dans un lieu sur, il partit avec quelques marins en mer. Lorsqu'ils arrivèrent près d'un archipel abandonnée : les îles des Sorciers, une flotte de navires gobelins les aborda. Esendalys vit que la bataille était perdu, il appella son capitaine et lui confit l'arme en disant: "prend la, nage jusqu'a cette île sans te faire repérer et cache la du mieux que tu peut". Le capitaine accrocha l'arme dans son dos et plongea a l'eau. Esendalys le vit nager vers l'île lorsqu'un gobelin le frappa par l'arrière, il tomba...Le gobelin regarda dans la direction et vit le nageur partir.
Il expliqua son chef se qu'il avait vu, se qui provoqua une grosse dispute parmis les gobelins, certain voulait aller voir sur l'île, d'autre encore voulait partir tout de suite, et d'autre voulait manger les elfes.La flotte gobeline se sépara alors, certain partir vers les côtes de l'empire, d'autres vers la Lustrie, et d'autres encore vers Ultuan.


-"Hé, gropif, j't'ai raconté not' bataille naval', k'es ke je leur a mi a cé elfes!"
-"Ba, facil' cété dé elfes"
-"Oué mé la, jé kombatu, jé lancé un défi o mage elfe et je lé fait mord' la poussier' com i disent. é apré, i en a un ka eu peur de moi é ki a sauté a l'eau, é pourtant il avé une arme magik' "
-"il avé une arme magik?"
-"oué mé meme avec la eu peur é il a rejoint l'île"
-"IMBECIL'!!" pourquoi tu n'as pas été chercher l'arme magique!!



voila le contexte, a vous d'inventer votre histoire et d'expliquer comment vous etes arrivé aux l'îles des sorciers...

Les gobelins se disputèrent de plus en plus, et ne pretèrent guèrent attention a la mouche qui volait au dessus d'eux. La mouche en avait d'allieur assez, elle en avez assez entendu. Elle sortit de la tente et s'appreta a quitter le campement. C'est en voyant les gobelins se battrent que la mouche décida de s'amuser un peu. Cradô reprit sa forme normale de farfadet, un petit singe bleu, et s'approcha des peau vertes. Aucun d'eux ne pretaient attention a lui. Il prit un saut de liquide sale, qui servaient de boisson aux gobelins (il sut que c'étaient pour boire car les gob' ne se lavaient jamais) et le renversa sur le feu. Il pensaient que le feu aller s'éteindre, mais non, un grand BOUM se fit entendre, et tout le monde regardat le farfadet.
-Oulalala, la cônnerie! (prenez une petite voie aigu lorsque vous lisez les paroles du farfadet)
Le chef de guerre, enervé par ce silence, sortit de sa tente:
-Celui ki m'attrap' ce truk je le nom' chef!
Un grand vacarme prit d'un seul coup, tout les gobelins commencèrent a se pousser, se taper, se pietiner pour attraper le farfadet (pour une fois qu'il pouvaient taper quelqu'un de plus petit qu'eux). Cradô partit tres vite, il sortit du campement, 3 gobelins n'avaient pas été semés. Il courut dans les bois, sautant, bondissant, s'abaissant. L'un des gobelins oublia justement de s'abaisser, et perdu ses deux dernières dents, ainsi que la possibilité de ratraper le farfadet. Les deux autres gobelins étaient toujours aux trousses de cradô. L'un des gobelins était derrière l'autre, et il decida de ne pas laisser l'autre être chef a sa place, il sortit son poignart et égargeat son rival. Il se concentra ensuite sur la courses avec cradô. Ce dernier laissa le gobelins gagner du terrain puis fonça vers un arbre, le gobelins le suivait de près. L'arbre approchait.
-J'ai était apsôlument ravi de faire ta cônnaissance! cria le farfadet.
Et il rentra dans l'arbre. (je vous laisse deviner ce qui est arrivé au gob qui le suivait de quelque centimètre et qui n'a pas la capacité de rentrer dans les arbres...)

Au même moment, tres loin de la, en Athel Loren, Mon petit singe bleu sortit d'un arbre.
-Alors, cradô, ta appris quelque chose?

(a finir)

Voici maintenant mon journal,moi Tzaloq des marais, que je tiendrait tout au long de cette campagne. Je serais fidéle aux événements jusqu'à la fin.

Il était tard, la nuit était déjà bien avancée, lorsqu'un skink arriva a Tiquax, il était fatigué et bléssé à mort. Kuwoqual (le kroxigor de la première partie que j'ai nomé commandant des armées dès notre retour à la citée lors d'un grand banquet..délicieux d'ailleur)faisait sa ronde nocturne quand il le découvrit à demi-mort. Il me l'apportta de suite. Sur un lit de mort j'appris les circonstance de sa découverte. Le skink me fit signe du doigt. Je m'approchait eti lme dit ceci:
-épée...puissante...île des sorciers ...elfe...cobelin...bataille...cacher...pouvoir....... dangerrrr........
Et il mourrut dans mes bras. Tout en oraganisant ces funérailles, je réfléchit aux étranges événements. Les troupes despays voisins étaient en mouvement. Et puis cette épée. N'en pouvant plus, je suis allé demander conseille à Xaniluk. Il était en songe depuis de long mois. J'étais le seul à pouvoir le sortir de ses songes. Je fis sortir les skinks de la piéce et me retrouvais face à lui. Après lui avoirs exposé tous ceci, il réfléchit un instant.
-C'est étrange en éfait. commenca-t-il. Je n'avait jamais rien vue d'aussi surprenant au-paravant. Mais il me semble bien que j'ai fait un rêve où il y avait une bataille naval. Regarde dans les dessins.
Je me dirrigais vers les dessins quand un dessin attira son attention. C'était une magnifique épée, la plus belle qu'il n'avait jamais vu. Je l'a présenta a notre slann.
-Ah, oui, la voilà. Je me souvien maintenant. Cette épée est magique, elle renferme une force immence. Bien plus puissante que tu ne l'imagine. Si les autres contrés sont au courrant, elles vont chercher à s'en emparrer. Et si l'une d'elle réussit, elle sera la plus puissantes du monde. Et nous seront tous sous la domination de cette épée. Il faut que tu la trouve et que tu la détruise. Prépare tes guerriers et part pour cette île des sorciers. Je t'envèrais des troupes plus tard en renfort.
-D'accord. J'y vais de se pas. Au revoir
-oui au revoir, je sais que nous nous reveront. N'oubli pas toi seul peu manier l'arme. L'épée est trop puissante pour qu'un prétre ou un homme ordinaire puisse s'en emparrer. Prend bien soin de toi.
Et je parti. Et c'est ainsi que je me retrouve aujourd'hui en pleine mer à voguer sur la mer à la recherche de cette épée en compagnie de mes fidèle guerrier et de mon compagnon Kuwoqual....